Je décide de faire conscience à la vie.
Et de découvrir au gré de sa bonté son monde d'emploi.
Je décide de faire confiance à la vie.
Et de découvrir au gré de sa beauté son mode d'emploi.
vendredi 15 novembre 2013
Quelle est la femme qui a le plus influencé votre idée du féminin ?
Quelle est la femme qui a le plus influencé votre idée du féminin ?
- votre mère ?
- une tante ou une proche parente ?
- une amie ?
- une enseignante ?
- une inconnue ?
- autre ?
- votre mère ?
- une tante ou une proche parente ?
- une amie ?
- une enseignante ?
- une inconnue ?
- autre ?
jeudi 14 novembre 2013
De quelle femme sommes nous ?
J'ai comme envie de remercier nos trajectoires de femmes où que nous soyons à travers le monde.
L'empreinte du monde, le mode de fonctionnement de notre quotidien me semble à forte teneur masculine.
Un monde prévalant largement l'action, l'affirmation, le paraître.
L'intériorité, le silence, la lenteur pouvant interroger questionner voire déranger.
Combien de femmes à avoir masculiniser leurs êtres au service du monde ?
Combien de femmes à avoir masculiniser leurs féminins ?
Combien de principes féminins en attente d'exister ? En besoin d'exister ?
Nos parcours de vies de femmes me paraissent mille fois méritants. A défaut de monde - mode d'emploi, nous nous débrouillons comme nous le pouvons.
Il me semble important de se rappeler à ce qui nous est aussi constitutif.
Comment je peux être au plus proche de cette polarité ?
Comment mon attitude peut traduire de la manière la plus honnête possible cette polarité ?
De quelle femme suis-je aujourd'hui ?
L'empreinte du monde, le mode de fonctionnement de notre quotidien me semble à forte teneur masculine.
Un monde prévalant largement l'action, l'affirmation, le paraître.
L'intériorité, le silence, la lenteur pouvant interroger questionner voire déranger.
Combien de femmes à avoir masculiniser leurs êtres au service du monde ?
Combien de femmes à avoir masculiniser leurs féminins ?
Combien de principes féminins en attente d'exister ? En besoin d'exister ?
Nos parcours de vies de femmes me paraissent mille fois méritants. A défaut de monde - mode d'emploi, nous nous débrouillons comme nous le pouvons.
Il me semble important de se rappeler à ce qui nous est aussi constitutif.
Comment je peux être au plus proche de cette polarité ?
Comment mon attitude peut traduire de la manière la plus honnête possible cette polarité ?
De quelle femme suis-je aujourd'hui ?
lundi 11 novembre 2013
De la polarité féminine, extrait d'un livre...
"Le seul fait de revêtir un corps d'homme ou un corps
de femme amène l'être à recevoir une éducation qui correspond à cette
caractéristique majeure. Ainsi, les femmes sont amenées à développer les
qualités dites féminines et à apprendre à s'intérioriser, à méditer, tandis que
les hommes sont mis en position de prendre les décisions, afin d'apprendre à
bien décider, à utiliser leur autorité de manière juste.
Bien sûr, l'homme aussi doit exprimer la
douceur et l'amour, mais il doit se manifester à travers l'émissivité pour
pouvoir réaliser son plan de vie. De la même manière, la femme doit utiliser
son pouvoir dans le concret, mais elle doit le faire à travers la réceptivité
et l'amour pour pouvoir bien évoluer.
On constate que l'homme est plus porté à agir à l'extérieur
qu'à l'intérieur de la maison : il aime démarrer des projets, construire,
échafauder des structures concrètes, etc. De son côté, la femme est portée à
agir à l'intérieur. L'homme va couper du bois pendant que la femme prépare la
nourriture. C'est classique. Certaines personnes diront que ce sont des
stéréotypes, mais cela va beaucoup plus loin qu'on ne le pense. Ces
tendances sont ancrées dans la nature des êtres. Chaque être a son programme,
et ce programme le fait tendre vers une configuration métaphysique intimement
liée au fait d'être homme ou d'être femme. Ensemble, grâce à cette
configuration qui les distingue, hommes et femmes ont une complémentarité
mutuelle qui génère une force de vie et de réalisation formidable.
Bien sûr la femme est capable de couper du bois et l'homme
est capable de préparer la nourriture. Mais si la femme se met à couper de
grosses bûches et à beaucoup forcer, qu'est-ce qui se produira? Elle
développera trop d'émissivité; son homme intérieur prendra trop de place et
cela brisera l'équilibre de ses pôles, celui qui favorise son évolution. Elle
perdra sa douceur, elle deviendra plus rude, parce qu'elle fera un travail qui
favorise la polarité masculine...
En ce moment, dans nos pays, c'est merveilleux parce qu'on
est rendus à une étape où tant les hommes que les femmes peuvent faire ce qu'ils
veulent en matière de choix professionnel. C'est de plus en plus
libre. L'être veut expérimenter...une femme voudrait bâtir des maison : et bien
elle le fait - elle expérimente le métier de constructeur. Mais il est évident
qu'elle perdra sa polarité féminine : elle développera une polarité de type
masculin, car ce métier exige beaucoup d'émissivité et de force sur le plan
physique. Ainsi, elle éprouvera très probablement de la difficulté dans son
couple, parce que sa force sera trop tournée vers l'extérieur. C'est très
difficile lorsqu'on entre dans des métiers qui ne correspondent pas à ce que
l'on est fondamentalement au niveau métaphysique. Les déséquilibres se font
sentir dans la relation.
.... La femme a une émissivité, mais c'est une
émissivité qui s'exprime principalement par le coeur et par l'intention. Pour
illustrer cela, j'amène souvent l'exemple que si une femme ne se sent pas bien,
ses plantes ont toutes la mine basse. C'est que l'énergie du coeur est
tellement forte chez la femme que toute l'ambiance s'en trouve colorée. Ce pôle
chez elle est de type émissif. Dès que la femme ne se sent pas bien, tout le
monde dans la maison en est affecté. On dit souvent que la femme est la
fondation du foyer; c'est cela que cette expression signifie. Elle est comme
une fleur : elle dégage un parfum qui inspire les êtres et tout ce qui vit.
L'homme, lui, est émissif surtout au niveau de la
réalisation concrète et au niveau des pensées. Il aime émettre des idées,
élaborer des théories, etc. Il vibre beaucoup aux images et à la logique. La
compréhension est très importante pour lui et on doit lui expliquer les choses
pour qu'il les accepte. La femme aussi, bien sûr, mais chez elle le ressenti
prédomine comme mode de perception. Ce qu'elle ressent est pratiquement du
concret pour elle. Elle dira à son conjoint : "Tu m'as dit que tu m'aimais
quand tu es parti ce matin et ça m'est allé droit au coeur; j'ai passé une très belle
journée." Alors que l'homme a besoin qu'on le touche physiquement
pour savoir qu'on l'aime, le lui dire ne lui suffit pas. Il a besoin du
concret... jusqu'à ce qu'il développe sa femme intérieure.
Il est important de développer les qualités du pôle
intérieur - la femme intérieur chez l'homme et l'homme intérieur chez la femme
- pour ne pas avoir de besoins. Et c'est surtout de cette façon que l'homme et
la femme peuvent s'enseigner mutuellement. Ils sont complémentaires l'un de
l'autre et ils se reflètent leur image respective.
Les hommes aussi bien que les femmes ont des choses à
travailler, mais présentement, dans notre société, la femme est devenue
tellement masculine que la dynamique de complémentarité entre hommes et femmes
ne fonctionnent plus. On en voit les effets entres autres au sein de la famille
qui, ayant perdu sa stabilité, ne donne plus aux enfants ce dont ils ont le plus
besoin - affection, guidance et stabilité. Tant qu'on n'aura pas retrouvé la
Connaissance spirituelle, celle qui se base sur la sagesse et l'amour, nos
familles souffriront de ce manque de stabilité et nos sociétés se
fragiliseront.
...C'est un peu le retour de balancier, car il y eut une
période où les femmes étaient très réprimées. Maintenant que tous les
secteurs d'activité sont ouverts aux femmes et les que les moeurs se sont
libérées, elles sont allée vers l'autre extrême : beaucoup ne veulent plus se
limiter à prendre soin des enfants et d'un époux. ...Développer ses
qualités féminines ne veut pas dire rester à la maison. Cela
signifie s'exprimer avec réceptivité, douceur et compassion dans ce que l'on
fait - peu importe le genre d'activité. Cela signifie cesser d'être comme les
hommes, entre autres cesser de rivaliser avec eux.
Assumer sa juste place en tant qu'homme ou en tant que femme
amène un grand bonheur chez chacun, et la relation s'en trouve grandie... "
lundi 4 novembre 2013
A nos deux femmes
Au milieu du monde, j'interroge les femmes.
J'interroge leurs regards et je vois les yeux. Ceux de petites filles.
Des regards à la dimension de leur quête.
Une quête de l'identité féminine au féminin, incarnée par le féminin.
J'écris ceci à l'intention de ces deux femmes en chacune de nous.
La femme moderne et la femme du patriarcat.
Celle se frayant une place dans le monde des hommes et celle issue de la tradition des hommes.
Les regards sont identiques.
Ceux de petites filles.
J'interroge leurs regards et je vois les yeux. Ceux de petites filles.
Des regards à la dimension de leur quête.
Une quête de l'identité féminine au féminin, incarnée par le féminin.
J'écris ceci à l'intention de ces deux femmes en chacune de nous.
La femme moderne et la femme du patriarcat.
Celle se frayant une place dans le monde des hommes et celle issue de la tradition des hommes.
Les regards sont identiques.
Ceux de petites filles.
samedi 2 novembre 2013
A l'heure du tri
D'un point de vue énergétique, je trouve que l'hiver correspond assez bien aux femmes.
Mais ce n'est pas encore l'hiver.
En ces temps d'automne, nous avons un élan naturel pour le tri. Garder ou pas, garder ou pas, garder ou pas, etc etc.
Quelle satisfaction de se diriger vers la synthèse de soi après ce travail de tri.
Quelle satisfaction de découvrir cette nouvelle personne !
Mais ce n'est pas encore l'hiver.
En ces temps d'automne, nous avons un élan naturel pour le tri. Garder ou pas, garder ou pas, garder ou pas, etc etc.
Quelle satisfaction de se diriger vers la synthèse de soi après ce travail de tri.
Quelle satisfaction de découvrir cette nouvelle personne !
vendredi 1 novembre 2013
A l'heure d'hiver
A l'heure d'hiver, je me rapproche du soleil.
Je gagne une heure et je me rapproche du soleil.
Tout me paraît plus naturel.
La parole d'hiver contient celle du soleil.
A l'heure d'hiver, je me rapproche du soleil.
Je gagne une heure et je me rapproche du soleil.
Tout me paraît plus naturel.
La parole d'hiver contient celle du soleil.
A l'heure d'hiver, je me rapproche du soleil.
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