La vie se conjugue au présent et en grand.
En grand, à la mesure de l'énergie qui nous habite.
En grand, telle la joie et l'insouciance des enfants.
Il est plus facile de vivre en grand.
Je n'ai jamais été motivée par des projets de petite envergure.
J'aurais l'impression de ne pas honorer la vie.
J'en suis certaine.
Il est plus facile de vivre en grand.
Parisienne 2013
lundi 3 mars 2014
vendredi 14 février 2014
Un grand Oui...oui c'est possible !
J'ai envie de dire un grand oui. Un oui enthousiaste aussi fort et aussi énergétique que le yes !
C'est quoi encore cette croyance de croire que le yes serait plus fort que le oui.
Je crois que les français sont optimistes. Aussi optimistes que les autres !
C'est quoi encore cette croyance de croire qu'il y aurait des peuples optimistes et d'autres non.
Je crois que les parisiens sont optimistes. Aussi optimistes que les autres !
C'est quoi encore cette croyance de croire que les parisiens ne le seraient pas. Oui on rit aussi à Paris !
Je crois que l'amour est pour tous. L'amour dans toutes ses formes et pas uniquement sentimental.
C'est quoi encore cette croyance que le couple serait l'incarnation de l'amour et que les autres liens ne seraient pas empreint d'amour.
Je suis sûr qu'il y a des gens inconnus qui me lisent et qui seront de vrais futurs amis !
C'est quoi encore cette croyance ça de croire que le connu est plus intéressant que l'inconnu.
C'est quoi en fait ce que nous expérimentons durant cette vie ? Que cherchons nous tous au fonds ? C'est quoi ?
Je crois que nous cherchons à expérimenter le champs des possibles, le champs des oui. De tous les oui porteurs, les oui qui nous rendent enthousiastes, authentiques, généreux, créateurs, humains.
C'est ça que nous cherchons.
Je crois que cherchons à incarner ces grands oui qui nous font sourire, qui nous rendent aimants, qui nous rendent courageux, qui nous rendent vulnérables, qui nous rendent amoureux, qui nous donnent envie de nous dépasser, qui nous orientent vers de meilleurs horizons, qui nous donnent la sensation de vivre pleinement.
C'est ça le grand oui, un oui qui fait pacte avec la vie.
Je crois que nous sommes assaillis de croyances ridicules.
Qu'il est bon de jouer avec ces croyances et de les mettre de côté.
Je crois que nous sommes tous de vastes champs de grands oui possibles et que la vie nous invite à les réaliser.
J'ai écrit ce texte avec mon coeur et j'espère qu'il vous parlera. Je me montre telle que je suis. J'ai touché quelque chose de nouveau cette semaine dans ma vie. Et mon défi est de le partager publiquement aujourd'hui.
Je vous souris,
Islandia
C'est quoi encore cette croyance de croire que le yes serait plus fort que le oui.
Je crois que les français sont optimistes. Aussi optimistes que les autres !
C'est quoi encore cette croyance de croire qu'il y aurait des peuples optimistes et d'autres non.
Je crois que les parisiens sont optimistes. Aussi optimistes que les autres !
C'est quoi encore cette croyance de croire que les parisiens ne le seraient pas. Oui on rit aussi à Paris !
Je crois que l'amour est pour tous. L'amour dans toutes ses formes et pas uniquement sentimental.
C'est quoi encore cette croyance que le couple serait l'incarnation de l'amour et que les autres liens ne seraient pas empreint d'amour.
Je suis sûr qu'il y a des gens inconnus qui me lisent et qui seront de vrais futurs amis !
C'est quoi encore cette croyance ça de croire que le connu est plus intéressant que l'inconnu.
C'est quoi en fait ce que nous expérimentons durant cette vie ? Que cherchons nous tous au fonds ? C'est quoi ?
Je crois que nous cherchons à expérimenter le champs des possibles, le champs des oui. De tous les oui porteurs, les oui qui nous rendent enthousiastes, authentiques, généreux, créateurs, humains.
C'est ça que nous cherchons.
Je crois que cherchons à incarner ces grands oui qui nous font sourire, qui nous rendent aimants, qui nous rendent courageux, qui nous rendent vulnérables, qui nous rendent amoureux, qui nous donnent envie de nous dépasser, qui nous orientent vers de meilleurs horizons, qui nous donnent la sensation de vivre pleinement.
C'est ça le grand oui, un oui qui fait pacte avec la vie.
Je crois que nous sommes assaillis de croyances ridicules.
Qu'il est bon de jouer avec ces croyances et de les mettre de côté.
Je crois que nous sommes tous de vastes champs de grands oui possibles et que la vie nous invite à les réaliser.
J'ai écrit ce texte avec mon coeur et j'espère qu'il vous parlera. Je me montre telle que je suis. J'ai touché quelque chose de nouveau cette semaine dans ma vie. Et mon défi est de le partager publiquement aujourd'hui.
Je vous souris,
Islandia
jeudi 13 février 2014
Les femmes sont plus belles quand elles osent
Mon regard se tourne vers ces belles ordinaires.
Je les trouve belles ces âmes entendues.
Elles disent une histoire. Intime, profonde et reflet de leurs vies.
La silhouette de cette femme à l'écriture.
La gorge de cette femme qui s'apprête à dire.
Les regards perçants de celle qui peint.
Les yeux au ciel de celle qui questionne.
Les mains enveloppantes de celle qui aime.
Les soleils de ces femmes qui osent vivre leur vie.
Les belles sont ordinaires.
Je les trouve belles ces âmes entendues.
Elles disent une histoire. Intime, profonde et reflet de leurs vies.
La silhouette de cette femme à l'écriture.
La gorge de cette femme qui s'apprête à dire.
Les regards perçants de celle qui peint.
Les yeux au ciel de celle qui questionne.
Les mains enveloppantes de celle qui aime.
Les soleils de ces femmes qui osent vivre leur vie.
Les belles sont ordinaires.
mercredi 12 février 2014
Le cadeau de soi
Nous nous disons nous mêmes, en réalité très peu de gens se vivent en eux mêmes.
Nous nous disons nous mêmes et nous empruntons (trop) souvent des rôles. Des rôles identitaires.
Ces rôles connus et rassurants, déjà joués par les autres et que nous empruntons. Ces rôles qui n'ont qu'une justification : flatter et rassurer nos égos.
Avez-vous déjà expérimenté comme il est bon de discuter avec une personne unifiée ?
Vous vous sentez en bonne compagnie car la personne incarne son propre alignement, une vérité. Entre elle - son âme - ses mots - ses gestes. Vous vous sentez en bonne compagnie car vous sentez une vérité en face de vous et du même coup, vous vous sentez autorisé à être vous même.
Combien de fois cela vous arrive t-il ? Par jour, par semaine, par mois ?
Quand cela se produit, nous nous sentons comblés car nous nous autorisons à notre tour à être.
L'égo nous joue des tours et se prend pour nous. Quand nous arrêtons de le nourrir, alors il se tait. Dès que nous le nourrissons, sa voix grandit et nous mène en confusion.
Plus nous sommes nous mêmes, plus nous sommes centrés et moins nous avons besoin de jouer à la comédie. C'est peut-être ça aussi la vie.
Allez je respire et je ris dès qu'il se pointel'égo.
Nous nous disons nous mêmes et nous empruntons (trop) souvent des rôles. Des rôles identitaires.
Ces rôles connus et rassurants, déjà joués par les autres et que nous empruntons. Ces rôles qui n'ont qu'une justification : flatter et rassurer nos égos.
Avez-vous déjà expérimenté comme il est bon de discuter avec une personne unifiée ?
Vous vous sentez en bonne compagnie car la personne incarne son propre alignement, une vérité. Entre elle - son âme - ses mots - ses gestes. Vous vous sentez en bonne compagnie car vous sentez une vérité en face de vous et du même coup, vous vous sentez autorisé à être vous même.
Combien de fois cela vous arrive t-il ? Par jour, par semaine, par mois ?
Quand cela se produit, nous nous sentons comblés car nous nous autorisons à notre tour à être.
L'égo nous joue des tours et se prend pour nous. Quand nous arrêtons de le nourrir, alors il se tait. Dès que nous le nourrissons, sa voix grandit et nous mène en confusion.
Plus nous sommes nous mêmes, plus nous sommes centrés et moins nous avons besoin de jouer à la comédie. C'est peut-être ça aussi la vie.
Allez je respire et je ris dès qu'il se pointe
mardi 11 février 2014
Un aller simple pour la vie
Je suis allée à l'agence de voyage la plus proche. Une dame me sourit en guise de bienvenue.
Je m'installe, elle me demande affable : En quoi puis-je vous aider ?
Je lui réponds que je voudrais un aller simple.
Un aller simple, une expérience radicale, existentielle. Une expérience vers le bonheur simple. Une vie simple. Une écriture simple. Des rencontres et beaucoup de rires simples. Un aller simple vers plus de radicalité, plus de simplicité risquée. Plus de vérité. Plus de clarté. Plus de vie.
Soulagement, je lui ai dit.
Je me sens bien. Remplie d'Amour.
Je m'installe, elle me demande affable : En quoi puis-je vous aider ?
Je lui réponds que je voudrais un aller simple.
Un aller simple, une expérience radicale, existentielle. Une expérience vers le bonheur simple. Une vie simple. Une écriture simple. Des rencontres et beaucoup de rires simples. Un aller simple vers plus de radicalité, plus de simplicité risquée. Plus de vérité. Plus de clarté. Plus de vie.
Soulagement, je lui ai dit.
Je me sens bien. Remplie d'Amour.
lundi 10 février 2014
Ma toute première conversation à 17 ans
Je suis en terminale, j'ai 17 ans.
Je poursuis jusque là une scolarité disciplinée par mes parents.
Je suis curieuse de cette terminale qui vient clôturer la maternelle.
Quand j'assiste pour la première fois à mon cours de philo, j'ai un choc.
J'ai envie de remercier la terre. Je suis pleine de gratitude. Je suis remplie de gratitude pour ce cours qui questionne ce que je questionne en silence.
J'observe mon prof de philo avec bouleversement. Je le considère.
J'ai l'impression que son cours est fait pour moi. Les minutes passent trop vite. J'attends avec impatience les cours suivants. Je vis pleinement. La vie se parle.
C'est la première fois que l'on me parle vraiment.
Je poursuis jusque là une scolarité disciplinée par mes parents.
Je suis curieuse de cette terminale qui vient clôturer la maternelle.
Quand j'assiste pour la première fois à mon cours de philo, j'ai un choc.
J'ai envie de remercier la terre. Je suis pleine de gratitude. Je suis remplie de gratitude pour ce cours qui questionne ce que je questionne en silence.
J'observe mon prof de philo avec bouleversement. Je le considère.
J'ai l'impression que son cours est fait pour moi. Les minutes passent trop vite. J'attends avec impatience les cours suivants. Je vis pleinement. La vie se parle.
C'est la première fois que l'on me parle vraiment.
dimanche 9 février 2014
Une vie en forêt
Depuis que je vis en Occident, je m'interroge sur ce mode de vie.
Et de l'effet de ce mode de vie sur la psyché de ses habitants.
Prenons juste l'appartement par exemple pour illustrer le propos:
vous avez les espaces de détente, la salle culinaire, les salles de repos etc.
Dans la salle de détente, vous avez les fauteuils : ce qui présuppose que vous serez assis toujours au même endroit.
Dans la salle culinaire, vous avez d'autres sièges : ce qui présuppose que vous serez assis toujours au même endroit.
Dans la salle de repos, vous avez le lit : ce qui présuppose que...? Vous avez compris.
Bref, dans le "toujours au même endroit", je ne vois que les limites. Je ne vois pas la sécurité, ni le prestige, ni la reconnaissance sociale, ni le lien social. Rien de tout ça.
L'être humain étant fait pour le mouvement et la rencontre, je ne comprends pas ce "toujours au même endroit".
Ce "toujours au même endroit" qui s'étend à presque toutes les autres sphères de cet individu occidental.
"toujours au même endroit" pour traverser une route.
"toujours au même endroit"pour aller d'un point à un autre.
"toujours au même endroit" pour aller travailler.
"toujours au même endroit" pour socialiser.
Avec ce fonctionnement je me demande : où sont les capacités de créativité ? où sont les capacités de flexibilité ? où sont les capacités de se renouveler ? où sont les surprises ? Où est la vie ? La vie au sens vivant.
Je me dis que nous avons beaucoup à apprendre et à réapprendre. Que les gens vivants en forêt seraient nos meilleurs guides de vie. Est-il si effrayant de fréquenter la vie ? Est-il si effrayant de fréquenter la sensation de vivre ? Est-il si effrayant de fréquenter notre être et nos envies ?
Et de l'effet de ce mode de vie sur la psyché de ses habitants.
Prenons juste l'appartement par exemple pour illustrer le propos:
vous avez les espaces de détente, la salle culinaire, les salles de repos etc.
Dans la salle de détente, vous avez les fauteuils : ce qui présuppose que vous serez assis toujours au même endroit.
Dans la salle culinaire, vous avez d'autres sièges : ce qui présuppose que vous serez assis toujours au même endroit.
Dans la salle de repos, vous avez le lit : ce qui présuppose que...? Vous avez compris.
Bref, dans le "toujours au même endroit", je ne vois que les limites. Je ne vois pas la sécurité, ni le prestige, ni la reconnaissance sociale, ni le lien social. Rien de tout ça.
L'être humain étant fait pour le mouvement et la rencontre, je ne comprends pas ce "toujours au même endroit".
Ce "toujours au même endroit" qui s'étend à presque toutes les autres sphères de cet individu occidental.
"toujours au même endroit" pour traverser une route.
"toujours au même endroit"pour aller d'un point à un autre.
"toujours au même endroit" pour aller travailler.
"toujours au même endroit" pour socialiser.
Avec ce fonctionnement je me demande : où sont les capacités de créativité ? où sont les capacités de flexibilité ? où sont les capacités de se renouveler ? où sont les surprises ? Où est la vie ? La vie au sens vivant.
Je me dis que nous avons beaucoup à apprendre et à réapprendre. Que les gens vivants en forêt seraient nos meilleurs guides de vie. Est-il si effrayant de fréquenter la vie ? Est-il si effrayant de fréquenter la sensation de vivre ? Est-il si effrayant de fréquenter notre être et nos envies ?
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