Auprès des hommes, elles vivent dans un monde conçu par le masculin.
J'observe les femmes.
Depuis enfant.
Les femmes exercent un pouvoir de fascination.
Depuis enfant j'observe les femmes.
Et je m'intéresse de plus en plus à cette question du féminin immergé dans le masculin.
Comment cultiver, entretenir, épanouir le féminin immergé dans le masculin ?
Comment dissocier ce féminin et le glorifier sans réduire la question à un contre à contre ?
Comme si un genre devait gagner contre l'autre genre.
Comment épanouir le féminin dans ce monde qui est le nôtre ?
mardi 29 octobre 2013
lundi 21 octobre 2013
Légèrement, prestement...
L'histoire se déroule au supermarché de mon quartier.
Après avoir terminé mes courses, je rejoins la file pour passer à la caisse.
Devant moi 3 ou 4 personnes, pas plus.
Dans cette file, la personne me précédant a un caddy rempli, alors que mes courses tiennent dans les 2 mains.
La personne se demande si elle me cède sa place et finalement décide au vu du nombre d'articles qu'elle garde sa place. Tout cela se fait avec sourire. Nous plaisantons. Après tout je n'avais rien demandé. Et nous continuons d'attendre.
Et puis une nouvelle caisse s'ouvre juste à côté.
Rapidement, je change de file et me voici la première à passer à cette nouvelle caisse.
La même personne, derrière son caddy, me dit joyeusement :
" Waoow ! Vous avez de la chance ! C'est bien la preuve ! On se déplace toujours plus vite quand on est léger !"
Je suis sortie du supermarché en pleine méditation sur la portée philosophique de cette phrase.
Comme quoi au supermarché...
Après avoir terminé mes courses, je rejoins la file pour passer à la caisse.
Devant moi 3 ou 4 personnes, pas plus.
Dans cette file, la personne me précédant a un caddy rempli, alors que mes courses tiennent dans les 2 mains.
La personne se demande si elle me cède sa place et finalement décide au vu du nombre d'articles qu'elle garde sa place. Tout cela se fait avec sourire. Nous plaisantons. Après tout je n'avais rien demandé. Et nous continuons d'attendre.
Et puis une nouvelle caisse s'ouvre juste à côté.
Rapidement, je change de file et me voici la première à passer à cette nouvelle caisse.
La même personne, derrière son caddy, me dit joyeusement :
" Waoow ! Vous avez de la chance ! C'est bien la preuve ! On se déplace toujours plus vite quand on est léger !"
Je suis sortie du supermarché en pleine méditation sur la portée philosophique de cette phrase.
Comme quoi au supermarché...
Une vie en ré...création
Quelle chance ! Quelle chance !
Quelle chance de vivre !
Et surtout quelle chance de créer !
Que gagnerions nous à reproduire des structures passées ?
Que gagnerions ?
La bénédiction du passé, des anciens certes.
Et puis ?
Et alors ?
Et alors, il s'agit d'un leurre.
Puisque l'essence même du passé est d'être dépassé.
Dépassé au sens noble du terme.
Agrandi.
Il n'y a que de bonnes nouvelles dans la ré / Création.
Soyons hautement créa mes amis !
ps : Vous me rejoignez à la récréation ?
Quelle chance de vivre !
Et surtout quelle chance de créer !
Que gagnerions nous à reproduire des structures passées ?
Que gagnerions ?
La bénédiction du passé, des anciens certes.
Et puis ?
Et alors ?
Et alors, il s'agit d'un leurre.
Puisque l'essence même du passé est d'être dépassé.
Dépassé au sens noble du terme.
Agrandi.
Il n'y a que de bonnes nouvelles dans la ré / Création.
Soyons hautement créa mes amis !
ps : Vous me rejoignez à la récréation ?
dimanche 20 octobre 2013
Paris est une dame délicieuse
Je mesure la chance de vivre à Paris.
Je lui dois beaucoup et je tente ici de la (puisque c'est une dame) remercier.
J'espère participer à son flux matriciel de la manière la plus humaine possible.
Au sein de son concert, j'aime l'idée d'y jouer ma partie.
Je crois aussi que cette ville nous oblige à aimer les gens.
Il y a une densité humaine telle.
Derrière tous ces visages, toutes ces histoires, toutes ces énergies, tous ces passés et ces futurs intimes.
Paris a l'âme céleste.
Elle inspire, interroge et dérange.
On finit par l'aimer.
Je lui dois beaucoup et je tente ici de la (puisque c'est une dame) remercier.
J'espère participer à son flux matriciel de la manière la plus humaine possible.
Au sein de son concert, j'aime l'idée d'y jouer ma partie.
Je crois aussi que cette ville nous oblige à aimer les gens.
Il y a une densité humaine telle.
Derrière tous ces visages, toutes ces histoires, toutes ces énergies, tous ces passés et ces futurs intimes.
Paris a l'âme céleste.
Elle inspire, interroge et dérange.
On finit par l'aimer.
mercredi 9 octobre 2013
Paris est une dame
Paris est la ville la plus visitée au monde.
Paris est une dame.
On la questionne. On lui rend visite. On s'y cultive. On s'y ressource.
Paris est une dame d'un certain âge.
On lui demande quelques conseils.
Paris est une dame d'un certain âge à la fois vertueuse et déraisonnable.
Elle s'habille de gris, se façonne une apparence sobre et inflige au monde l'urgence et l’exigence de vivre.
Paris est une dame.
On la questionne. On lui rend visite. On s'y cultive. On s'y ressource.
Paris est une dame d'un certain âge.
On lui demande quelques conseils.
Paris est une dame d'un certain âge à la fois vertueuse et déraisonnable.
Elle s'habille de gris, se façonne une apparence sobre et inflige au monde l'urgence et l’exigence de vivre.
jeudi 26 septembre 2013
Les mystères de la nature
J'ai écouté enfant les histoires que l'on raconte aux enfants.
Les histoires que l'on raconte aux enfants.
J'aimais entendre la variété des couleurs, les intrigues, les mystères et par dessus tout l'omniprésence de la nature.
Je me rends compte à quel point la nature est omniprésente dans les contes.
Une nature souvent dense et expressive, magnifiant en quelque sorte l'histoire.
Et du coup la même histoire dans un contexte différent deviendrait une histoire complétement différente.
Et si c'était la nature qui fabriquait l'histoire ?
Les histoires que l'on raconte aux enfants.
J'aimais entendre la variété des couleurs, les intrigues, les mystères et par dessus tout l'omniprésence de la nature.
Je me rends compte à quel point la nature est omniprésente dans les contes.
Une nature souvent dense et expressive, magnifiant en quelque sorte l'histoire.
Et du coup la même histoire dans un contexte différent deviendrait une histoire complétement différente.
Et si c'était la nature qui fabriquait l'histoire ?
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